Quand un individu pèche et commet un sacrilège envers le SEIGNEUR,
soit en mentant à son compatriote à propos d’un objet reçu en dépôt, d’un objet emprunté ou d’un objet volé,
soit en exploitant son compatriote,
soit en mentant à propos d’un objet perdu qu’il a trouvé, si de plus il prononce un faux serment au sujet de l’une de ces actions qui sont des péchés,
celui qui a ainsi péché et s’est rendu coupable doit rendre ce qu’il a volé, ou ce qu’il a extorqué à son compatriote, ou ce qu’il a reçu en dépôt, ou l’objet perdu qu’il a trouvé, ou tout objet à propos duquel il a prononcé un faux serment ;
il le rembourse en entier en y ajoutant le cinquième du prix et il le remet à son légitime propriétaire au jour où il se découvre coupable.
A titre de réparation pour le SEIGNEUR, il amène au prêtre un bélier sans défaut, pris dans le petit bétail, selon la valeur indiquée pour un sacrifice de réparation.
Quand le prêtre a fait sur lui devant le SEIGNEUR le rite d’absolution, il lui est pardonné, quoi qu’il ait fait pour se rendre coupable.