Quand un homme, faisant partie de la maison d’Israël ou des émigrés installés en Israël, veut apporter un présent en holocauste comme ceux qu’on apporte au SEIGNEUR à la suite de vœux ou spontanément, si vous voulez être agréés, ayez un mâle sans défaut, tiré des troupeaux de bœufs, de moutons ou de chèvres ; ne présentez aucune bête ayant une tare, vous ne seriez pas agréés.
Quand un homme, en accomplissement d’un vœu ou spontanément, présente au SEIGNEUR un sacrifice de paix tiré du gros ou du petit bétail, s’il veut être agréé, l’animal doit être sans défaut ; qu’il ne s’y trouve aucune tare : ni cécité, ni fracture, ni amputation, ni verrue, ni gale, ni dartre.
Ne présentez pas au SEIGNEUR un animal aux testicules écrasés, broyés, arrachés ou coupés ; ne faites pas cela dans votre pays.
Après leur naissance, un veau, un agneau ou un chevreau resteront sept jours avec leur mère ; à partir du huitième jour, ils seront agréés si on les présente comme mets consumés pour le SEIGNEUR.
Mais n’égorgez pas le même jour une bête, vache, brebis ou chèvre, et son petit.
Quand vous immolez au SEIGNEUR un sacrifice de louange, faites-le de manière à être agréés : on le mange le jour même, sans rien en laisser pour le lendemain. C’est moi, le SEIGNEUR.
Celui qui vous a fait sortir du pays d’Egypte afin que, pour vous, il soit Dieu, c’est moi, le SEIGNEUR. »