Le chemin du juste va tout droit, et tu aplanis la voie droite du juste.
SEIGNEUR, tu nous donnes la paix, c’est toi qui accomplis pour nous tout ce que nous faisons.
SEIGNEUR notre Dieu, d’autres maîtres que toi ont dominé sur nous, mais c’est ton nom seul que nous redisons. Puisque les morts ne revivent pas, puisque les trépassés ne se relèvent pas, tu es intervenu pour les exterminer et faire disparaître jusqu’à leur souvenir.
Tu as fait grandir la nation, SEIGNEUR, tu as fait grandir la nation, tu as montré ta gloire, tu as fait reculer toutes les frontières du pays. SEIGNEUR, dans la détresse on a recours à toi. Quand tu sévis, on se répand en prières.
Nous avons été devant toi, SEIGNEUR, comme une femme enceinte, près d’enfanter, qui se tord et crie dans les douleurs. Nous avons conçu, nous avons été dans les douleurs, mais c’est comme si nous avions enfanté du vent : nous n’apportons pas le salut à la terre, ni au monde de nouveaux habitants.
Tes morts revivront, leurs cadavres ressusciteront. Réveillez-vous, criez de joie, vous qui demeurez dans la poussière ! Car ta rosée est une rosée de lumière, et la terre aux trépassés rendra le jour.