Et voici le rituel du sacrifice de paix qu’on présente au SEIGNEUR.
Si on le présente pour accompagner la “louange”, on présente pour le sacrifice de louange des gâteaux sans levain pétris à l’huile, des crêpes sans levain frottées d’huile et des gâteaux faits de farine bien mélangée et pétris à l’huile ; en plus des gâteaux, on apporte en présent du pain levé pour accompagner le sacrifice de paix offert en louange ; on en présente un gâteau de chaque espèce ; c’est un prélèvement pour le SEIGNEUR et cela revient au prêtre qui a fait l’aspersion du sang du sacrifice de paix. Quant à la chair du sacrifice de paix offert en louange, elle se mange le jour même où elle est présentée, sans rien en mettre de côté pour le lendemain.
Si le sacrifice présenté est “votif” ou “spontané”, on le mange le jour même où l’on présente le sacrifice ; le lendemain on peut manger ce qu’il en reste ; mais ce qui resterait de la chair du sacrifice serait brûlé le troisième jour.
Si l’on mangeait quand même, le troisième jour, de la chair du sacrifice de paix, celui qui l’a présenté ne saurait être agréé ; il ne lui en serait pas tenu compte : c’est devenu de la viande avariée ; quiconque en mangerait porterait le poids de sa faute. De plus, la chair qui aurait touché quoi que ce soit d’impur ne se mange pas, elle se brûle. En ce qui concerne la chair : Quiconque est pur peut manger de la chair ;
mais celui qui, se trouvant en état d’impureté, mangerait de la chair du sacrifice de paix offert au SEIGNEUR, celui-là serait retranché de sa parenté ; et celui qui aurait touché quoi que ce soit d’impur, impureté humaine, animal impur ou toute bête interdite et impure, puis mangerait de la chair du sacrifice de paix offert au SEIGNEUR, celui-là serait retranché de sa parenté. »