Et quand un homme laissera une citerne ouverte, ou qu’il creusera une citerne sans la recouvrir, si un bœuf ou un âne y tombe,
Et quand le bœuf d’un homme frappera mortellement le bœuf d’un autre, ils vendront le bœuf vivant et se partageront l’argent ; et la bête morte, ils la partageront aussi. S’il était notoire que ce bœuf avait déjà auparavant l’habitude de frapper, et que son propriétaire ne l’ait pas surveillé, il donnera un bœuf en compensation du bœuf, et la bête morte sera pour lui.
Si le voleur, surpris à percer un mur, est frappé à mort, pas de vengeance du sang à son sujet. Si le soleil brillait au-dessus de lui, …
Si la bête volée — bœuf, âne ou mouton — est retrouvée vivante entre ses mains, c’est au double qu’il donnera compensation.
Quand un homme fera pâturer un champ ou une vigne et qu’il laissera son bétail pâturer dans un autre champ, …
Quand un feu se propagera pour avoir rencontré des épines, et que seront dévorés gerbiers, moissons ou champs, l’incendiaire devra donner compensation pour l’incendie.
Quand un homme donnera en garde à son prochain de l’argent ou des objets, et qu’on les volera de la maison de celui-ci, …
Pour toute affaire frauduleuse concernant un bœuf, un âne, un mouton, un manteau ou tout objet perdu dont on dira : “C’est bien lui”, l’affaire des deux parties viendra jusqu’à Dieu ; celui que Dieu déclarera coupable donnera à son prochain compensation au double.
Quand un homme donnera en garde à son prochain un âne, un bœuf, un mouton ou tout autre animal, et que celui-ci mourra, se blessera ou sera razzié sans qu’on l’ait vu, un serment au nom du SEIGNEUR interviendra entre les deux adversaires, comme quoi l’un n’a pas mis la main sur le bien d’autrui ; le propriétaire de l’animal acceptera, et l’autre ne donnera pas compensation.